En Italie à Capri dans l’église Saint Ignace ( Sant’Ignazio ) le diocèse a commandé une exposition d’art contemporain. Cette dernière a provoqué l’indignation de ceux qui l’ont vu.
Elles sont en effet choquantes et blasphématoires.
Alors on peut se poser la question, pourquoi le diocèse fait il entrer la décadence dans une église ?
Pour ma part c’est très symbolique. A l’image de nos hommes politiques, certains membres de l’église sont déconnectés de la réalité. Ils vivent dans un monde où leur égo compte plus que le sacré.
Je le rappelle même si c’est une évidence une église est un lieu ou l’on vient communier avec Dieu où le sacré a toute sa place. Alors pourquoi vouloir le souiller avec une œuvre qui n’inspire que le dégout aux fidèles ?
L’auteur de l’exposition Andrea Saltini (ci-dessous) n’est pas croyant et dit que sa religion c’est le doute.
Certains diront que c’est le but de l’art que de nous questionner. Pour ma part je ne le pense pas du tout. L’art doit nous élever spirituellement et l’artiste a une grande responsabilité envers son public.Une œuvre doit nous conduire à nous dépasser et nous élever spirituellement, elle ne doit pas nous salir avec les tourments de l’artiste.
Avant pour être artiste il fallait avoir du talent, de nos jours il faut avoir des relations. Avant pour être artiste il fallait « être » de nos jours il faut « paraitre ».
Ce qui est très choquant c’est que cela a lieu au sein même d’une église.
Que chacun exprime son art tel qu’il le souhaite mais pourquoi venir salir une église qui n’est pas faite pour cela.
Que ces œuvres soient exposées en galerie d’art tout simplement.
Une pétition a été ouverte pour retirer de l’église ces peintures.
Je vous laisse le lien attention c’est en italien :
https://www.provitaefamiglia.it/petizione/fuori-larte-blasfema-dalle-chiese-firma-ora
source de l’info :
Ci-dessus selon l’auteur il s’agit de la Vierge Marie dépouillée par les pharisiens qui veulent enquêter sur sa conception virginale.
Encore selon l’auteur il s’agit de Longinus le centurion romain qui aurait percé avec sa lance le flan du Christ dans l’évangile selon St Jean. Dans cette oeuvre il lui casse les cotes « à la main ». Rien à voir avec la tradition et le sens sacré de cet épisode.