Souvenez-Vous, ô divin Enfant Jésus,
de la promesse si douce que Vous avez daigné faire Vous-même à Votre servante,
la vénérable Marguerite Marie du saint Sacrement,
lorsque Vous lui disiez ces paroles si pleines de consolation pour notre cœur triste et accablé:
«Recours à Mon cœur et chaque fois que tu voudras obtenir une grâce, ne manque jamais de la demander par les mérites de Ma sainte Enfance, car Je ne te le refuserai point».
Rempli de confiance en Votre parole, ô divin Enfant Jésus, si miséricordieux et toujours fidèle dans Vos promesses, je viens à Vos pieds Vous exposer mes peines.
Aidez-moi à mener une vie sainte, afin d’arriver sûrement à l’éternelle patrie et par les mérites de Votre Incarnation et de Votre sainte Enfance, ô divin Enfant Jésus, par l’intercession aussi de Votre auguste Mère et des saints archanges Michel, Gabriel, et Raphaël, daignez m’accorder les grâces que je sollicite [INDIQUEZ VOTRE DEMANDE]
Je les implore avec la plus vive instance, car Vous savez combien j’en ai besoin.
Non, non, ô doux Enfant Jésus, je ne serai point trompé dans mon espérance. Je me jette dans les bras de Votre tendresse, de Votre miséricorde et de Votre puissance, persuadé que Vous écouterez ma prière et que je ne me relèverai pas de Vos pieds sans avoir été consolé et exaucé.
Ainsi soit-il.
«Plus vous M’honorerez, plus Je vous bénirai!» – Promesse du saint Enfant Jésus de Prague.
Peut-être vous demandez-vous qui est la vénérable Marguerite du Saint-Sacrement,mentionnée dans la prière ?
C’est une carmélite française, née en 1619 et morte à Beaune en 1648.
Elle est connue pour être la propagatrice de la dévotion à l’Enfant-Jésus, .
Au lendemain de la mort de Marguerite, des miracles auraient été constatés sur sa tombe.
La représentation connue de l’enfant Jésus de cette prière diffère sensiblement de l’Enfant Jésus de Prague, son contemporain.